Ma vie a moi était parfaite de ma naissance au décès de notre petite soeur qui est morte quand elle avait trois ans d'une malformation au coeur, on a pas pu la sauver. Ma mère était effondrée on a essayé de la soutenir mais comme mon père n'était jamais là c'était très dur. Mais la vie passe et notre mère à finit par s'en remettre avec le temps mais perdre un enfant est très dure. On l'a soutenu, on a grandit et mon frère à commencé à trainer avec les gens des bas quartiers et tout a changé. Notre lien était devenus differents, moi j'avais deux ans de moins alors à 10 ans j'allais pas sortir. Mais pourtant je l'ai suivi un peu, j'ai perdu ma virginité à 11 ans et j'en suis pas très fière. On était au collège, je devais avoir 14 ans quand une femme est venue nous voir moi et mon frère et qu'elle nous a dit que nos parents avaient eu un accident et que les medecins n'ont pas pu les sauver, ils sont mort tout les deux à cause d'un pauvre mec qui était complétement ivre. "- MAIS TU COMPREND RIEN OU QUOI, NOS PARENTS SONT MORTS PUTAIN NOAM COMPREND LE CEST FINIT ON LES REVERRA JAMAIS TOUT CA PARCE QU'UN MEC BOURRE LEUR A FONCER DEDANS ALORS NE VIENT PAS ME DIRE QU'ILS M'AIMENT, QU'ILS vEILLENT SUR MOI, ARRETE AVEC CA ET ARRETE DE ME DIRE QUE TOUT VA BIEN ALLER, RIEN NE VA TU LE SAIS !" Quand on perd quelqu'un de proche, on passe par le dénis, la colère, la culpabilité mais surtout la dépression. Moi j'ai commencé par le denis, je voulais voir personne, cette phase à duré à peu près 3 mois, mon frère ne savait pas quoi faire pour me rendre le sourire, je pleurais toujours, je restais enfermée dans ma chambre et le pire c'est que je regardais nos albums photos et toutes les photos étaient avec mon frère, ma petite soeur, ma mère mais jamais mon père. Puis je suis rentré dans la phrase colère, j'ai pété les plombs j'ai arreté de prendre mes médicaments et j'ai finis par essayer de me suicider et c'est mon frère qui m'a trouvé. Cette phrase à duré 6 mois. J'avais seulement 14 ans à la mort de mes parents et en plus de ça, ma tante et mon oncle sont venus habités chez nous jusqu'à ce qu'ils aient notre garde. Noam, lui il est repartis en cours mais moi j'y arrivais, même quand mes amis m'appellaient je ne répondais pas. J'ai pas vraiment eut de culpabilité pour ma mère car je l'ai toujours soutenue, toujours était présente mais plus pour mon père, je me sentais coupable de pas avoir de photo avec lui, de moments inoubliables non rien je n'avais rien de mon père. J'ai trié les affaires de ma mère sans vraiment pouvoir le faire, j'ai pris ses affaires et je l'ai mis dans ma chambre je voulais avoir son odeur, je pouvais pas faire autrement. Puis j'ai finis par rentré dans la dépression et là j'ai commencé à me droguer, à sortir, à faire la fête, avec mon frère. J'ai grandis et j'ai finis par me faire à l'idée que je reverrais plus jamais mes parents. Je m'entendais pas vraiment avec ma tante et mon caractère était assez dure, je faisais n'importe quoi, je rentrais à 5 heures du matin alors que j'avais cours le lendemain. J'ai eu mon bac et j'ai décidé de me prendre en main. Je voulais avoir un nouveau but et je l'ai trouvé ressembler à ma mère pour qu'elle soit fière de moi. J'ai pris beaucoup de drogues et j'en suis accro mais je sais en prendre quand je suis en soirée et pas abusé non plus. Je fume oui et alors ? maintenant autant mourir de quelque chose. J'ai maintenant 18 ans bientot 19 ans, je m'amuse avec les garçons je tiens pas à tomber amoureuse maintenant. Je couche parce que j'adore ça. Je suis tout le temps en soirée, je suis une grosse fêtarde et le lien avec mon frère s'est enfin retrouvé le même qu'avant encore plus fort et plus rien peut nous séparer. J'ai fais des études de photographie et de journalisme, j'étais la gentille fille bien rangée que personne ne connaissait réellement, la vrai moi c'était la fille qui sortait tout les soirs. "- Babe qu'est ce qu'il y a" "- Je m'en vais Noam, j'ai besoin de partir, j'ai eu mon bac, j'ai continué mes études mais là je veux partir, vraiment partir loin tu vois j'ai besoin d'un nouveau départ" "- Je comprend, je te laisse partir à une condition que tu me téléphones et que tu me promette de prendre soin de toi et que si ca va pas tu reviens à Miami." "- Je te le promet Noam, je t'aime" "- Je t'aime aussi Aylina"

Je suis donc partit pour Vérone en Italie, ma mère avait de la famille ici, elle était née ici d'ailleurs, alors j'y es étais et puis comme j'étais assez riche j'ai pris un appartement là-bas et j'ai trouvé un job en tant que serveuse dans un bar tout ce passait vraiment bien. J'ai rencontré Logan, le beau goss dangereux et très connard avec les filles. Au premier regard, je suis tombé amoureuse de lui, je l'ai peut-etre changé en un homme bien mais sur ça j'y étais pour rien. Tout était parfait entre nous, on s'aimait vraiment, on se taquinait comme des gamins, on rigolait comme des imbéciles, on se cherchait comme des frères et soeurs, on était fou mais fou amoureux de l'un et l'autre.
On était près de la piscine, on jouait et je l'ai poussé volontairement dedans, attention pas doucement, non brusquemment dans la piscine. Je me suis enfuit en courant et il m'a suivit dans toute la maison. "Viens ici toi, tu ne t'échapperas pas!" Il me suit en courant, on est chaqu'un coincé derrière la table, je sais que s'il m'attrape j'aurais mon avalanche de chatouilles mais surtout de bisoux. "Tu m'auras pas!". Je rigolais en le regardant et puis j'ai sauté sur la table et j'ai couru très vite dans le jardin où je me suis littéralement cassé la gueule. J'étais morte de rire et il s'est allongé à coter de moi, puis enfaite sur moi, il m'a embrassé et j'ai encore passé une journée magnifique avec mon amoureux. Je me suis écarté de lui et me suis relever face à lui toujours par terre. Au moment où il allait se relever, je l'ai poussé à terre en gueulant "- On est quittes". Je me suis sauvé en courant dans la maison, j'ai fermé la baie vitrée derrière moi et quelques minutes après Logan arrive devant pour l'ouvrir. "Oh bébé, s'il-te-plaît, ouvre-moi la porte... " - " Non!  Tu ne m'auras pas avec ta gueule d'ange! ". Il s'est mis à grimper tout d'un coup je ne sais où d'ailleurs. J'ai pas compris, je me suis assise devant la baie vitrée quelques minutes et j'ai entendu des pas à l'étage, c'est pas vrai il est rentré, très intelligent. Il est descendu dans le salon, en face de moi et m'a embrassé. "Ça n'aura pas fonctionné Aylina, tu peux pas te débarasser de moi!". J'ai grimpé dans ses bras et il m'a porté, il m'a embrassé encore et encore et à ce moment là je me dis que j'ai la plus belle vie du monde. Je l'aime et rien ne pourra changer ça.

Je marchais dans la rue, j'avais la tête qui tournais, j'avais beaucoup trop bu.  Je reviens du lounge bar, ça ne fait pas très longtemps que je suis à Vérone. Depuis, j'ai fais le tour des bars et des night club que Logan m'a montré.  Je me suis amusée comme une folle.  Mais je suis trop saoule, et je le sais.  Je vois un chat courir vers moi, alors j'explose de rire, je marche pas très droit. J'ai fais du karaté-bourré, un nouveau art chinois, je sais même plus vraiment ce que je fais. Tout ce que je sais c'est que j'ai préféré rentrer à pied car j'étais trop bourré pour conduire.  Je suis très proche de chez moi, je vois ma maison au loin.  Je chante dans la rue et quand j'appercois ma maison, je gueule même : « Honey!  I'm hoooome! »  Mon voisin me gueule de la fermer et j'explose de rire à nouveau comme une conne.  Je traverse sans pretter attention et la seule chose que j'ai vu c'est deux énormes phards qui approchent à une vitesse folle.  J'ai pas eu le temps de crier, ni de courir, ni de bouger. J'ai vu la voiture de près, trop près.  J'ai entendu les bruits de freint.  Je me suis ecrasé le visage sur le pare-brise et j'ai vu même très bien, vite mais le visage étonné du conducteur, que j'oublierais jamais.  Je suis tombé sur le côté de la voiture puis par terre.  J'ai entendu une voix qui bredouille, probablement l'homme.  « Merde! »  Oui, c'est l'homme, qui dirait ça présentement alors que tout le monde dans le quartier dort.  J'ai juste entendu la porte claqué, la voiture démarrait et le dérapage controlé et le moteur de la voiture s'éloigné.  Un voile noir recouvre mon visage, je sens mon sang coulait sur mes doigts et je sombre dans un profond sommeil.  La seule chose à laquelle je pense là toute suite maintenant, c'est Logan.  Je veux pas mourir, je veux pas le quitter, j'avais peur qu'il ne soit pas là, qu'il m'oublit.

Pendant un an et demi, je suis resté dans le coma, j'entendais Logan venir tout les jours mais aucun moyen de lui parler, de lui dire que j'étais encore vivante, les medecins étaient optimistes, il disait à logan qu'un jour je me réveillerais mais quand personne ne savait. Un jour, logan n'est plus venu. Aujourd'hui, un an après l'accident, je me réveille, les medecins n'y croivent pas leur yeux, je suis vivante mais complétement identique à avant, mais avec un an en plus. Et en un an, les choses ont bougés à Vérone.